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Dans cet article sont présentés les événements majeurs de l'histoire de la Titanie.

Époque proto-titanienne et ancienne[]

Les origines du peuple titanien ne sont pas claires. Si l'on se réfère au récit mythique du Livre du Nàth, l'île aurait été peuplée originairement « à travers l'eau ».

Le teint mat de la peau de la plupart des Titaniens et les yeux légèrement bridés d’une partie de la population marquent une différence par rapport à leurs voisins nord-européens, suggérant ainsi que l’île aurait été peuplée à partir de l’ouest, soit depuis le continent américain. Cette hypothèse, qui ouvre à la perspective d'un premier métissage avec la population originaire, est soutenue, d'un côté, par la présence du maïs, du ginseng[1] et de l’échinacée[2] sur l’île, et de l'autre côté, par les mœurs et la culture. La présence de l’art martial du Themshin établit d’ailleurs un ultérieur contact indéniable avec l’Asie, en particulier avec la Chine centrale, voire avec l’Inde : cette théorie, n’étant toutefois pas présente dans la littérature titanienne, remonterait à la légende de Bodhidharma, un moine bouddhiste persan originaire d’Inde, réputé avoir, d’un côté, fondé en Chine l’école bouddhiste Chan, et de l’autre côté, avoir diffusé la pratique des premiers arts martiaux originaire du sud de l’Inde, notamment le Kalarippayatt, duquel dériveraient aussi bien le kung-fu chinois que, par conséquent, le themshin titanien. La musique traditionnelle titanienne affiche d’ailleurs plusieurs ressemblances avec la musique himalayenne. Une longue migration de disciples de Bodhidharma se serait produite entre le IVe et le Ve siècle, allant de l’Inde vers la Chine. Après une pause en Chine, notamment dans la province du Henan, ce flux aurait poursuivi vers le continent américain et aurait atteint l’île de Titanie vers la moitié du VIIe siècle ap. J.-C., intégrant de façon profonde une civilisation s’y étant déjà développée. Cette migration aurait continué tout au long du Moyen Âge, favorisant notamment la diffusion en Titanie des arts martiaux.

Un second important processus de métissage aurait eu lieu après l'arrive des migrants provenant de l'ouest, au cours des siècles qui ont vu la Titanie entretenir des relations commerciales et culturelles avec les deux îles voisines d’Islande et d’Irlande. La présence d’individus aux cheveux blonds et roux et aux yeux clairs, assez réduite et concentrée dans le nord de l’île, confirmerait cette hypothèse.

Du point de vue linguistique, si la structure du titanien moyen et moderne est clairement apparentée à celle des langues indo-européennes, la structure morphologique du titanien ancien présente des similitudes avec les langues natives nord-américaines et andines, et le lexique, dérivant à 90 % environ de l’ancien titanien, remet en question l’origine de cette langue, car aucun lien n’a été relevé, ni d’un côté ni de l’autre de l’océan Atlantique.

Si l’on se penche enfin sur les coutumes et sur les caractéristiques intrinsèques du peuple titanien, allant de l’organisation de la société à la philosophie, on observe un mélange d’éléments appartenant à plusieurs cultures très éloignées entre elles, telles que l'Inde, la Mésoamérique, l'Amérique du Nord et l'Asie centrale, entre autres.

Époque romaine[]

L’île est mentionnée pour la première fois par l’astronome et astrologue grec Ptolémée, qui indique en 150 ap. J.-C. une île dans sa description de l’Hibernia, l’actuelle île d’Irlande. Les Romains décident toutefois de ne pas conquérir ces deux îles, en raison de leur distance de Rome et du climat rigide. Ils la dénomment Hibernia minor.

Époque moderne[]

Un tournant de l'histoire titanienne se situe entre le Ve et VIIe siècles ap. J.-C.. C'est le moment de l'arrivée d'une vague migratoire n'ayant jamais été clairement documentée par les sources titaniennes non plus, en provenance du continent américain. Ce flux, dont l'origine remonterait à la Chine centrale, et, plus loin encore, à l'Inde méridionale, intègre de façon décisive et de tous les points de vue une civilisation déjà présente sur l'île, dont les caractéristiques s'entremêlent à celles de nouveaux arrivés de façon naturelle et pacifique.

Du point de vue linguistique, à ce moment historique le processus d'évolution de l'ancien titanien (Hadhén shedhén dhemvés) aboutit à un point crucial, c’est-à-dire à une différence sensible par rapport à un idiome désormais appartenant à une autre époque, et à la naissance de la langue définie par les linguistes comme moyen titanien.

Ensemble avec la prise de conscience liée à la langue, sur l’île est reconnue la présence d’un code d’écriture par lettres, remplaçant les idéogrammes non codifiés utilisés auparavant, dénommé alphabet titanien ancien (Hadhénf shedhénf tigmvùrn).

C’est la période où le papier titanien, le wilégvér, commence à se diffuser sur l’île pour remplacer les supports utilisés précédemment, à savoir le bois ou, dans certains cas, la peau d'animaux ou la carapace des tortues géantes (Klùshtèmér).

À cette époque se situe également le début du calendrier et de la littérature titanienne : c’est à ce point-là que les habitants de l’île commencent à utiliser leur écriture pour rédiger des textes dans leur langue, afin de conserver des données et des souvenirs, contrairement à la pratique précédente, lorsque le savoir était partagé et transmis exclusivement à l’oral et lorsque l’écriture n’était utilisée que rarement pour des fins pratiques ou symboliques, comme dans les lieux sacrés.

Période « irlandaise »[]

Le premier véritable contact avec l’extérieur a lieu au VIIe siècle ap. J.-C., lorsque ont lieu les premiers échanges avec les Irlandais, concernant notamment des marchandises. À cette époque se situe la fondation de la ville de Nokértwél, dans la partie nord-orientale de la Skaradie, qui a conservé jusqu’à nos jours les traditions et la langue irlandaises.

Nokértwél

Vue de Nokértwél

Vers la fin du siècle, des moines commencent à s'unir aux déplacements vers l’île voisine, afin de diffuser la foi chrétienne au sein de la population locale. Des monastères et d’autres lieux de culte sont construits, dont aujourd’hui il n’en reste que la cathédrale des Mùtèmér, sur le haut-plateau du même nom, qui a été maintenue en bon état par les Titaniens, mais qui a été convertie en lieu de culte léonien après que les moines l’ont quittée. Il est intéressant de noter qu’en titanien ce monastère est dénommé Katvém hékstè éjrdhùkténmér, c’est-à-dire « la maison des Irlandais ».

Katvém hékstè éjrdhùkténmér - cathédrale des Mùtèmér

La cathédrale des Mùtèmér

Les moines entament des études de linguistique fondées sur la grammaire classique et sur la terminologie latine, pour analyser la langue locale. C’est à eux qu’on doit l’invention du système de translittération de l’alphabet titanien, utilisé aujourd’hui encore pour les rapports avec l’extérieur. Ces études constituent la base pour toutes les analyses qui ont suivi dans ce domaine. Au cours de cette période, voit la lumière également la première étude concernant la langue titanienne écrite par un Titanien : c’est le cas d’une glose titanien ancien – titanien moderne (avec une colonne de transcription en alphabet latin) – gaélique irlandais et latin, les quatre langues présentes sur l’île jusqu’à ce moment. L’autrice porte le nom de Whakskedhtés, cas presque unique de femme savante dans l’antiquité. Tous les ouvrages de linguistiques ont été conservés au siège du Huménhëdh de Ragsén, où ils se trouvent encore de nos jours, sans toutefois être ouverts au public.

Mais la tentative principale, la conversion de la population indigène, n’atteint pas son but. Les Titaniens écoutent avec intérêt les sermons des moines et s’intéressent à leurs théories, mais ils ne semblent pourtant pas vouloir quitter leur pensée traditionnelle liée au Dhàwkàn. Au début du IXe siècle, la plupart des moines font retour en Irlande pour célébrer la réalisation du Livre de Kells. À cause des difficultés liées au voyage, et sans doute découragés face à une population si sûre de ses propres valeurs, la plupart d'eux zdécide de rester en Irlande.

La présence pacifique et enrichissante des Irlandais sur le territoire titanien a joué un rôle important de plusieurs points de vue, mais surtout à cette époque remonte le premier contact avec un peuple frère, avec une culture sans aucun doute différente, mais toujours proche et capable de maintenir des rapports d’amitié sincère au fil des siècles et dont le destin a été partagé également dans des situations difficiles.

Du point de vue historique, les études de linguistique, démarrées à cette époque, ont permis entre autres de décrire l’écriture titanienne. Selon les sources irlandaises, elle marque son début peu avant l’arrivée des moines sur l’île, et elle existe donc sûrement dès le Ve siècle, époque à laquelle remonte aussi le début du calendrier titanien (411 ap. J.-C.). Ces deux événements semblent être liés.

Vikings[]

Presque en même temps, l’île est intéressée par une autre grande civilisation de l’Europe septentrionale. Les Vikings débarquent en Titanie sans doute vers 830 ap. J.-C., conduits par Riourik, le même qui avancera ensuite vers l’est pour devenir le premier prince de Novgorod (Russie) en 862. Une fois qu’ils s’aperçoivent de la culture développée sur l’île et de la fierté de ses habitants, les grands conquérants du nord cherchent à entamer des rapports pacifiques et des contacts commerciaux concernant notamment des produits alimentaires. Dans ce cadre, ils fondent le port de Kimshir, sur la côte septentrionale du Napkidh, qui devient leur point d’abordage, et contribuent fortement au développement en parallèle de Nenakidh, à l'époque un petit village isolé, qui étend son influence commerciale à toute la région du Napkidh. Ces échanges voient le jour sous les meilleurs auspices : les Titaniens vont à l’encontre de ceux qu’ils considèrent comme un peuple frère aux coutumes similaires. Deux villages sont fondés sur la côte nord, Huwén et Thëgwisén. Mais les relations tournent bientôt en négatif, avec les Vikings exigeant toujours plus des habitants de l’île, sous la menace d’une action militaire. Peu à peu les Titaniens commencent à apercevoir un mécanisme de chantage, et s’adressent aux conquérants du nord pour revoir les accords, mais ces derniers refusent. Un soulèvement populaire est réprimé à Kimshir en 952, et lors des affrontements un jeune homme nommé Nishik perd sa vie. C’est la goutte qui fait déborder le vase : les intentions du roi Harald Ier de Norvège concernant la Titanie sont désormais bien claires. Il vise la conquête de l’île et l’esclavage de ses habitants pour pouvoir exploiter ses ressources naturelles et humaines.

Au moment de la déclaration de la part du gouvernement de Harald d’imposer un drapeau à la Titanie (semblable aux drapeaux scandinaves, mais avec une croix vert clair sur un fond blanc), la population réagit, poussée par un sentiment de trahison. La ville de Nenakidh, quartier général des ennemis, est assiégée la nuit du 14 au 15 septembre 952[3] par un groupe de guerriers guidés par le Groupe du feu (en ancien titanien, Tarkirvém weshavésn[4]), ressemblant cinq femmes et cinq hommes, tous d'excellents combattants de Themshin, dont les plus représentatifs sont Kimsantér Wlànvegtés et sa femme Hishnà Nékskedhtés. Ils ouvrent une brèche dans les murs en bois autour de la ville bâtis par les Vikings, et à l’aide des lance-pierre traditionnels, les Tishekvùrn, utilisés avec des pierres et des petites bombes incendiaires, ils pénètrent à l'intérieur. Une fois entrés dans la ville, ils combattent à l’aide du Themshin. Les Vikings, pris par surprise, sont obligés de battre en retraite sur le haut-plateau des Mùtèmér pour réorganiser leur défense. Les combattants titaniens les suivent et les obligent à fuir vers le port de Kimshir, où la population les attend. La seule solution à ce point est celle de se sauver sur les bateaux et de prendre la mer.

Tishekvùr

Un Tishékvùr

Cette victoire, obtenue par une révolte organisée exclusivement oralement et secrètement, a eu lieu traditionnellement en une date symbolique, la Fête de l'arrivée, qui marque le début de l’année de la lune.

Après l'expulsion des Vikings, les dix membres du Groupe du Feu, cinq couples mariés entre eux, sont élus au Huménhëdh de Nenakidh, et le drapeau du Groupe devient le drapeau de la Titanie. C’est le drapeau bleu, vert et jaune, au multiples significations.

Invasion des Anglais[]

La seconde période de crise de l’histoire titanienne se situe à la moitié du XVIIe siècle. En 1649, Oliver Cromwell envoie les troupes de sa New Model Army en Titanie après avoir donné le coup d’envoi à la conquête de l’Irlande. La tragédie de l’invasion est annoncée par une vague d’émigrés irlandais qui rejoignent Nokértwél, se sauvant de la guerre. La population titanienne est rapidement soumise par la force. Les indigènes sont réduits en esclavage et ils perdent tous leurs droits. Les Anglais installent leur quartier général à Hèinksén, jusqu’alors un petit port de pêche, et une importante garnison est fixée à Ragsén. Malgré le fait d’avoir été vaincus en bataille, les Titaniens ne se rendent pas, et les envahisseurs ont du mal à étendre leur influence au-delà des villes portuaires. De plus, la citadelle de Harishir, capitale de l’Estanie, et la ville fortifié de Nenakidh (protégée par une enceinte en bois bâtie par les Vikings) sont presque inattaquables et constituent une barrière difficile à franchir, empêchant ainsi l’accès aux deux ports sur la côte septentrionale et occidentale, Kimshir et Kithishés, et au sud de l’île, encore complètement sous le contrôle des Huménhëdhvèrè.

En ce cas aussi, comme presque mille ans auparavant, la révolte est organisée de façon secrète. Les rebelles s’organisent pour attaquer les quartiers généraux des Anglais à Hèinksén et à Ragsén le soir du 13 février 1654. En ces jours-là, la plupart des navires anglais avaient dû rentrer en Irlande pour des raisons de maintenance et certains espions titaniens l’avaient appris. Leur but était d’agir de façon très rapide et silencieuse afin que le seul navire resté dans le golfe des étoiles ne s’aperçoive de rien. Malheureusement, une fois saisis les quartiers généraux, le message de l’attaque parvient au navire, qui commence à bouger en pleine nuit vers la côte de Hèinksén, le quartier-général des Anglais, ces derniers devant désormais choisir entre celle-ci et Ragsén, qui se rend ainsi aux rebelles. Les dirigeants du contingent anglais sont chassés de leur quartier-général et les soldats de garnison à Ragsén sont emprisonnés. Mais une jeune fille moine retirée en méditation sur le promontoire de Terre-Neuve (Mudhén Napshipvùr) l’aperçoit et court vers la ville pour donner l’alarme. Des combattants attaquent le navire en bateau, mais ils sont aisément repoussés : la bataille a lieu enfin peu de temps après dans les rues de Hèinksén. Les Anglais, comme les Vikings, sont chassés après une lutte corps-à-corps où les Titaniens obtiennent la victoire à l’aide de leurs tishekvùrn et du Themshin.

Pour marquer le souvenir de cette expérience, une enceinte en bois est bâtie autour de la ville de Hèinksén au début de la seconde moitié du XVIIe siècle. Au centre de la ville, le Palais des Jeunes étincelles est érigé en tant qu'hommage suprême à l’être humain, à sa valeur et à sa beauté.

Hèinksén devient ainsi la ville la plus importante de l’île, symbole d’une nouvelle ère marquée par la conscience des menaces et des dangers auxquels la méchanceté humaine peut mener. Toutefois, pour les Titaniens, la citadelle de Harishir représente toujours la capitale, en raison de son rôle historique.

La plupart des émigrés irlandais qui avaient fui la guerre décident de rester à Nokértwél, la ville qui les avait accueillis.

Époque récente[]

L’histoire récente de la Titanie est caractérisée par une ouverture au monde européen, suivant la tendance inverse qui avait mené à l’isolement choisi après la seconde expérience d’invasion étrangère[5].

Le XVIIIe siècle enregistre un vif esprit de curiosité parmi les explorateurs et les ethnologues français, qui les pousse à visiter plusieurs fois la Titanie et à chercher de décrire les mœurs, la langue et la culture de ses habitants. Le voyage le plus important est sans doute celui d’André Michaux vers la fin des années 1790, de retour des États-Unis en qualité de botaniste royal de Louis XIV. Son activité sur l’île ne se borne cependant pas à la description de la flore locale, se penchant également sur l’observation des habitudes et de la langue locales. Toutefois, il ne rédige aucun livre officiel, mais ses notes ont été reprises ensuite.

Cette vague d’intérêt croissant de la part des anthropologues et des ethnologues français s’étend au XXe siècle, avec les voyages notamment de Pierre Lemonnier, et surtout de Claude Lévi-Strauss.

Leurs observations, ensemble avec celles de Michaux, représentent le point de vue « extérieur » le plus important[6].

L’indépendance du nouveau Royaume de Norvège en 1905 offre aux Pays scandinaves l’opportunité de proposer un pacte d’amitié (Kërvér hékst hemwidhvésn, litt. « Accord de l'équilibre ») entre les couronnes danoise, suédoise et norvégienne, et la Titanie, signé en 1906 à Nenakidh. Par cet événement, célébré par une photographie du roi Haakon VII avec les membres des cinq Huménhëdhvèrè au port de Kimshir avant le départ du souverain norvégien, a rétabli les relations entre ces Pays voisins après presque 1000 ans.

En 1909, deux autres pactes d’amitié sont signés, avec l’Islande à Kimshir et à Reykjavik, et avec l’Irlande à Nokértwél et à Galway. Ces deux accords célèbrent une amitié séculaire avec les deux îles-sœurs.

À l'occasion de la signature de la Déclaration de Londres du 28 avril 1949, le roi George VI se rend en visite officielle à Hèinksén un mois après, pour rétablir l’amitié avec la Titanie 300 ans après l'expulsion de l’armée de Cromwell.

L’intérêt suscité par la Titanie, non seulement parmi les savants mais aussi parmi les touristes, les voyageurs et les curieux, a amené à l’instauration de liaisons maritimes nocturnes assez rares assurées par de petits bateaux à voile entre Grindavík (Islande) et Kimshir, et entre Dingle (en irlandais An Daingean, en Irlande) et Nokértwél.

La parution des bateaux à moteurs pour ces lignes, assurant des liaisons régulières plusieurs fois par semaine, date de la fin des années 1980, ensemble avec l’inauguration de la liaison avec le port de Saint-Jean de Terre-Neuve (en anglais, St. John’s), capitale de la province canadienne de Terre-Neuve-et-Labrador. Cet événement marque symboliquement la position de la Titanie à mi-chemin entre les continents américain et européen.

Enfin, l’ouverture au monde extérieur se développe davantage avec la construction des aéroports de la Revnadie (1993), situé entre Pankes et Ragsén, et des Grandes Plaines (2002), situé entre Ragsén et Radhén, à la frontière entre la Revnadie et le Napkidh, pour les petits avions.

Notes et références[]

  1. Les deux autres espèces de ginseng se trouvent en Asie du Nord-Est et en Amérique du Nord (Canada).
  2. Des recherches botaniques ont démontré que l’échinacée à l’origine était présente uniquement en Amérique du Nord et en Titanie.
  3. Date plutôt symbolique, mais l’année semble être assez fiable.
  4. À noter que le mot weshavés indique à la fois le feu et la vie.
  5. Les deux invasions, celle des Vikings et celle des Anglais, sont définies en titanien comme Hérn humènén rëpshdidvér et Hérn vhunén rëpshdidvér, c’est-à-dire la « première guerre » et la « deuxième (seconde) guerre », respectivement.
  6. Vërkir Klibvegtés Këdhisveg, La description de l’Île : l’anthropologie française du XXe siècle et la redécouverte de la Titanie, éditions de la Maison des sciences de l’homme, Paris, 1984.
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