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Hérnè tripvùrn

Symbole de la semaine des espoirs

La Semaine des espoirs (en titanien, Tjéshgepvùr hékstè tripvùrdn) est l'un des principaux événements du Temps du froid et du noir, le deuxième Shinrvùr de l'année de la lune, selon le calendrier titanien.

Elle a lieu du 19 au 23 décembre et c'est sans aucun doute l’une des périodes les plus importantes des deux Hëmavèrè.
Bien entendu, malgré la dénomination de « semaine », elle dure un Tjéshgepvùr, c'est-à-dire cinq jours.

Description[]

Le premier jour est consacré à essayer de résoudre tous les problèmes restés en suspens : on rend visite à une personne avec laquelle on s’est disputés, on règle les dettes, on rend les choses empruntées. Cette journée représente une facette fondamentale de la philosophie de vie titanienne, qui loin d’être rigide, se fonde sur un équilibre flexible, où tout se règle et tout retrouve son équilibre, tôt ou tard.

Le deuxième jour est dédié au soin du corps, à la méditation et à la prière. Dans l’après-midi, chacun rend visite aux personnes âgées, qui leur offrent des cadeaux. La raison de ces visites se traduit par la nécessité de conseil, d’écoute et d’échange de sagesse de la part des personnes âgées.

Whëdhekvèrè

Des Whëdhekvèrè.

Le troisième jour, des chandelles contenant de l’encens (Nidhvùr) sont brûlées dans les rues.
Après le coucher du soleil, qui a lieu en Titanie vers 16h00 dans cette période, tout le monde se réunit pour manger des Vhadhkénf reshvèrè plus grosses que d'habitude avec de la confiture de baies de kùpvèmér (Wëpimvùr) avec des infusions chaudes et des biscuits (Nùkshivèsén) aux pommes ou des Kamshénf ranvèmér.

Hinipshén mashvém[]

Une ambiance joyeuse et des bals caractérisent la période jusqu’au jour (Pergpvés) suivant, dont la plupart est occupé par l’obscurité, qui est connue comme la Hinipshén mashvém (traduit de façon erronée comme « Nuit submergée », alors que Hinipshvùr définit en moyen titanien la première entité principale du Dhàwkàn, l'énérgie créatrice et destructrice - tit. moderne Vapshtém). Des bals communs sont organisés à plusieurs reprises : ils sont appelés Bal des personnes libres, ou Likvés hékstè dhewénf dhùkténmér, ce qui donne une idée du caractère et du but de cette danse, constistant à libérer sa pensée et à célébrer le moment présent.

Notes et références[]

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